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Humeurs

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Je ne vous apprends rien : lundi soir, les internet ont eu un goût de fin du monde. Facebook en panne (et donc Instagram, Whatsapp…) et nous voilà tous sur Twitter, à attendre frénétiquement un signe de reprise de ces réseaux sociaux. Enfin tous… Disons que ceux qui comme moi n’ont pas mis tous leurs oeufs dans le même panier étaient bien contents d’avoir encore un blog ! ;)

Bon, évidemment, le seul hic là dedans, c’est qu’étant notamment Community Manager Freelance, je me suis retrouvée au chômage technique le temps d’une soirée.

Mais la blogueuse en moi – toujours active ici 12 ans après le lancement du blog ! – s’est mise à rêver à un moment de cette période où les réseaux sociaux n’étaient pas aussi développés, et où les blogs connaissaient leur heure de gloire.

« Dis, c’était comment quand il n’y avait quasiment que des blogueurs ? »

Eh bien, bizarrement, les choses étaient simples. On concentrait notre créativité et notre temps sur un seul support. On relayait déjà nos articles sur Facebook et Twitter, comme un petit coucou aux internets pour annoncer qu’il y avait un nouvel article à lire. Et puis, il y avait Hellocoton aussi !

Et chaque article recevait des commentaires. Pas un, pas deux… mais parfois des centaines de commentaires ! On prenait le temps de lire, d’échanger. On retrouvait un noyau de lectrices fidèles, toujours là pour commenter chaque article.

Pour de nombreuses blogueuses, leur blog s’est transformé en portfolio de leurs compétences. C’est mon cas. En tant que rédactrice web freelance, j’ai souvent été approchée par des clients qui avaient lu mon blog, avant de me contacter en tant que professionnelle.

Je considère un peu mon blog comme un laboratoire. J’aime y tester de nouveaux formats, créer des nouvelles rubriques, m’arracher les cheveux parfois des heures sur le design ou la technique. Bon, c’est sûr que depuis qu’on doit aussi créer du contenu pour les réseaux sociaux comme Instagram, on a un peu moins de temps à consacrer ici.

Et pourtant…

Si avec l’arrivée d’Instagram dans nos vies, j’ai perdu près de 40% de traffic sur mon blog et que le nombre de commentaires laissés ici a été divisé par 10, j’apprécie toujours d’avoir mon blog.

Je le mets à jour régulièrement. Bon, fini le temps où je pouvais poster 1 article par jour. Désormais, on est plutôt sur un rythme de 2 articles par semaine, et c’est déjà très bien.

Lors du premier confinement, les blogs ont connu un regain de succès. Il faut dire qu’on avait un peu que ça à faire d’aller lire des articles sur les blogs. Plus de temps aussi par rapport à d’habitude. Je suis la première à dire ça alors que clairement, si je naviguais un peu moins sur Facebook et Instagram, je pourrai gagner au moins 1h par jour à faire autre chose.

Mais je comprends qu’Instagram et plus généralement les réseaux sociaux soient devenus plus attractifs que les blogs. On scrolle, on like, on laisse éventuellement un commentaire. On consomme rapidement du contenu. On engloutit du contenu non stop, sans que celui-ci ne nous marque forcément.

On aime à suivre les influenceurs comme des personnages de série ou de télé-réalité. Ceci dit, rappelez-vous qu’au début, beaucoup ont pris leurs blogs pour des journaux intimes, publiés sur Internet ;) Mais là, c’est comme quand on se pose devant NRJ12 ou la télé : on pose plus ou moins son cerveau devant les réseaux sociaux. Et ça demande donc moins d’effort que de lire un article de blog, qu’il soit long ou non.

D’ailleurs, peut-être que j’ai déjà perdu du monde à ce stade de l’article ^^

Dur de se passer des réseaux sociaux

Soyons honnête : j’aurai bien du mal à ne plus utiliser les réseaux sociaux. Déjà, parce que je gagne en partie ma vie avec. D’autre part, parce que si je n’avais que le blog, ce serait un peu me tirer une balle dans le pied. Je serai peut-être comme Tom Hanks, quasiment seule ici, sans interactions.

Mais je dois avouer qu’une partie de moi, en voyant cette énorme panne lundi soir, s’est dit : « Mais qu’est-ce qu’on est bien sur son blog ! ». Parce que contrairement à tous ceux qui ont monté leur business sur Instagram, je reste propriétaire de mon contenu ici. J’ai juste à ne pas oublier de faire des sauvegardes de ma base de donnée pour ne pas perdre des années de travail.

Parce qu’à un moment, je me suis quand même demandé si cette panne énorme n’allait pas nous faire perdre des années de photos Instagram ou de posts sur nos pages Facebook. Et ça, j’avoue, cela m’aurait démoralisée à un point. Pas seulement pour l’aspect professionnel. Mais aussi parce que c’est des moments de vie que je partage sur mon Insta.

Conclusion ?

J’ose espérer que cette panne massive rappellera au moins deux choses aux gens :

  • 1) Ne pas se concentrer uniquement sur un seul support pour monter son business ou pour créer son univers
  • 2) Les blogs ne sont pas morts. Alors que les internets étaient en panique, les blogs étaient tout tranquilles, à attendre des visites.

Vous l’aurez compris, je ne compte pas délaisser mon blog de sitôt. Les réseaux sociaux non plus, même si j’avoue que cette panne de Facebook m’aura confortée encore plus dans mon idée de dépenser mon énergie à créer du contenu pour le blog plus que pour les réseaux sociaux.

Et vous, vous l’avez vécue comment cette panne géante ? :)

Tiens, un petit billet d’humeur, cela faisait longtemps ! Il faut avouer que comme beaucoup, j’ai depuis cette semaine l’impression de sortir d’une longue hibernation. Les rues du centre de La Rochelle se font vivantes, et j’ai le plaisir de retrouver mes adresses préférées à toute heure de la journée. Bref, les terrasses ont rouvert leurs portes !

Mercredi dernier, je n’y suis pas allée dès l’ouverture. Parce que bon, j’avais d’autres priorités dans la vie, comme beaucoup : le travail. Mais je m’étais promis de faire ma pause déjeuner en extérieur, peu importe le temps. Et c’est sous un beau ciel bleu et du soleil que j’ai pu profiter de mon premier repas en terrasse depuis Octobre dernier.

Je dois l’avouer : ça m’a fait bizarre. S’asseoir en terrasse. Choisir sur la carte. Papoter avec les voisins de table. Revoir des têtes que l’on a pas vu depuis un petit moment.

C’est tout d’abord chez les copains de Mangata que je suis allée faire ma pause déjeuner. C’est marrant car ces 6 derniers mois, on s’est surtout vus en mode copains ! Pas en mode « clients/restaurateurs ». Mais quel plaisir de revoir ses potes faire leur boulot, vivre leur passion et de voir le monde au rendez-vous.

Dans l’après-midi, j’ai retrouvé 3 amis pour boire un verre en terrasse. Ca fait un bien fou. Voir les rues du centre vivant. Papoter de tout et de rien. Croiser des gens que l’on a pas vu depuis des lustres. J’ai tellement papoté que j’ai fini par avoir mal à la gorge dans la soirée – ça faisait en effet plus de 6 mois que je n’avais pas passé des heures à parler aux gens !

J’ai hâte de reprendre également mes habitudes de travailler depuis les terrasses de mes cafés préférés : Mangata, Chez Albert, Les Enfants du Rock… De me lever le matin et d’aller prendre mon petit café en extérieur avant d’attaquer ma journée. De donner rdv aux copains pour un petit verre après le boulot, histoire de papoter et de souffler.

Bref, les terrasses sont à nouveau ouvertes depuis 2 jours et ça fait un bien fou au moral.

Cela faisait bien longtemps que je n’avais pas écrit un article sur mon activité de créatrice de contenu. Oui, créatrice de contenu. Pas « influenceuse ». Je déteste ce terme. Et aujourd’hui, j’ai eu envie de poser des mots sur un sujet qui n’est pas toujours bien vu : les partenariats.

J’espère que cet article ne sera pas trop décousu. Il faut dire que j’écris mes articles comme je les pense, de façon spontanée.

Pourquoi je fais des partenariats

Mon blog et mes réseaux sociaux font partie de mon activité professionnelle. Ce n’est pas mon activité principale, car je suis également rédactrice web / content commerce manager / community manager en freelance.

Mais j’ai la chance de pouvoir vivre en partie de mon activité de créatrice de contenu. Un travail prenant, qui n’accorde jamais de pause. Je ne vais pas m’en plaindre, c’est la vie que j’ai choisie. Et les partenariats font partie de ce métier.

Les raisons pour lesquelles je fais des partenariats sont assez simples :

  • Pour payer mon loyer

Soyons honnête. Comme tout le monde, je travaille pour gagner ma vie. Payer le loyer, les factures, faire les courses… La vraie vie, quoi !

Comme pour une activité salariée, ces revenus sont déclarés aux impôts et à l’Urssaf. Ayant un statut d’auto-entrepreneur, je reverse environ 25% de mes revenus à l’Etat.

  • Pour parler de marques ou de créateurs que j’apprécie

C’est l’une des premières motivations que j’ai en ouvrant le blog en 2009. Parler des marques et des créateurs que j’apprécie, partager mes coups de coeur. A l’époque, j’étais bien loin de m’imaginer que cela allait faire partie de mon travail. Ni qu’on pouvait être payé pour parler de ses coups de coeur.

  • Pour partager mes bons plans

C’est notamment le cas pendant les grosses périodes commerciales comme les soldes, le Black Friday ou les fêtes. Il n’est pas rare que des enseignes me contactent pour que je produise un article sponsorisé mettant en avant leurs offres.

Evidemment, je fais le choix de parler de marques ou d’enseignes que je connais, que j’apprécie et desquelles je suis cliente. Hors de question pour moi de me mettre à vous parler d’une enseigne que je n’apprécie pas ou d’une marque dont le sujet ne me concerne pas (les animaux, les enfants, etc…) car un chèque est à la clé ;)

Faire des partenariats ne signifie pas forcément se transformer en panneau publicitaire

Je ne taperai sur personne mais malheureusement, certains créateurs de contenu sont de véritables panneaux publicitaires.

Il m’arrive d’unfollower des comptes Instagram parce que ce sont devenus de véritables annexes du télé-shopping. J’ai du mal à comprendre les personnes qui vantent une crème A le lundi, pour nous dire que la crème B est géniale le jeudi.

Je pars du principe qu’un partenariat avec une marque n’est pas une chose négative. A condition que le contenu créé soit utile et en adéquation avec l’univers du créateur de contenu.

J’en avais parlé il y a quelques mois sur Instagram, dans mon IGTV consacré aux partenariats. Lorsque je reçois une demande de partenariat, je me pose deux questions :

  • Est-ce que c’est une marque dont je peux être cliente (même sans être sollicitée) ?
  • Est-ce que la marque peut apporter des informations intéressantes pour ma communauté ?

Si la réponse est NON à l’une des deux questions (ou aux deux !), alors je refuse le partenariat.

Pourquoi on a une vision parfois négative des partenariats

Il y a plusieurs raisons à cela, mais voilà ce qui ressort des échanges que je peux avoir régulièrement à ce sujet.

  • Parce que partenariat = contenu non honnête

Souvent, on pense qu’un contenu sponsorisé n’est pas honnête. Qu’on enjolive forcément la marque, son avis sur le produit, etc… Je ne vais pas dire que c’est totalement faux. Mais cela dépend énormément du créateur de contenu.

Pour ma part, je garde mon libre arbitre et mon jugement est honnête, qu’on me paye ou non pour parler d’une marque ou d’un produit. C’est d’ailleurs quelque chose que j’explique à mes partenaires.

Mais malheureusement, il y aura toujours des créateurs de contenu et des influenceurs (= des gens issus de la télé-réalité) qui essaieront de vous vendre tout et n’importe quoi vu qu’ils ont touché un chèque. A vous de nettoyer régulièrement votre flux Instagram et d’arrêter de suivre les personnes qui agissent ainsi ;)

  • Parce que blogueur ou influenceur = pas un vrai métier

C’est souvent quelque chose qui est reproché aux créateurs de contenu. Je ne compte plus le nombre de fois où l’on m’a dit que ce n’est pas un vrai métier, et donc que cela ne méritait pas de salaire.

Comme je l’explique dans ma vidéo sur les partenariats, le partenariat tel qu’on le voit sur les réseaux sociaux ou les blogs ne correspond qu’à 10% de l’opération. En amont, c’est de la négociation, de la création de contenu… et après la publication, il faut communiquer les résultats, faire du marketing, etc.

C’est donc un vrai travail ;)


J’espère que cet article vous aura permis d’avoir un nouvel avis ou un nouvel éclairage au moins sur les partenariats, qu’ils soient sur les réseaux sociaux ou sur les blogs.

Et vous ? Quel est votre avis sur le sujet ?

Je ne suis pas du genre à prendre des bonnes résolutions. Parce que comme 99,99% des gens, passé le 15 janvier, je les zappe complètement. Mais depuis quelques années, j’essaye de me fixer des objectifs pour la nouvelle année. Des objectifs qui essayent de guider mon quotidien, et que j’essaye de mettre en oeuvre autant que possible. Mais sans pression. Alors, aujourd’hui, comme je sais que vous aimez les articles humeurs/personnels, je me suis dit que j’allais partager ici mes objectifs pour 2021.

Vous allez voir, ce n’est rien de foufou. Mais honnêtement, vu la conjoncture actuelle, cela me permet de me guider dans mon quotidien, plutôt que de naviguer dans le flou total.

Objectif n°1 : Voyager (ou du moins, bouger plus autour de chez moi)

Cela fera peut-être l’objet d’un prochain article mais voyager me manque terriblement. Les différents confinements et la crise sanitaire ont, comme pour pas mal de monde, supprimé des projets de voyage. Je ne prévoyais pas d’aller au bout du monde ou de partir des mois, mais au moins de voyager un peu et d’en profiter.

Si cela est possible cette année, je ne vais pas m’en priver. Ne serait-ce que m’accorder des escapades en France, aller voir mes copains à Paris, Marseille et Londres, bouger dans d’autres pays…

Si cela n’est pas possible, eh bien je vais essayer de voyager plus autour de chez moi. Bon, j’avoue que n’ayant pas le permis, tout ne m’est pas accessible. Mais j’espère bien pouvoir vadrouiller un peu dans la région pour vous la faire découvrir ;)

Objectif n°2 : Me remettre à la méditation

Ca fait littéralement des mois que je dis ça. Du moins, j’en ai l’impression ! Mais j’accumule énormément de stress avec le boulot et la crise sanitaire m’angoisse pas mal… Résultat je suis souvent fatiguée, irritée ou je me tape de gros maux de tête… Le CBD m’a déjà bien aidé (à lire ici si vous voulez en savoir plus sur mon expérience), mais la méditation me ferait un bien fou également. Ne serait-ce que 10 minutes par jour. C’est mieux que rien.

Objectif n°3 : Lire davantage

J’essaye de lire déjà pas mal mais j’avoue que je lis bien moins qu’avant. En effet, je passe mon temps à bosser, à être scotchée sur mon téléphone ou à buguer devant la télé. Du temps qui pourrait parfois être utilisé pour lire, surtout que ma PAL diminue à faible allure !

Alors, je vais essayer de lire plus et de lâcher davantage mon téléphone. Objectif : atteindre 50 livres lus cette année !

Objectif n°4 : Dire NON aux gens et penser à moi plus souvent

Je fais partie de ces gens qui ont tendance à dire oui facilement, même si parfois ce ne serait pas la meilleure chose à faire. Oui, quitte à prendre sur mon temps perso, à m’oublier, à me taper du stress pour des gens qui, soyons honnêtes, ne feraient pas cela pour moi !

Alors cette année, j’ai décidé que j’allais penser un peu plus à ma pomme. Ces « amis » qui ne prennent jamais de nouvelles parce que je n’en donne pas forcément non plus ? Eh bien cela veut dire que le lien n’est pas forcément là. Ces gens qui veulent abuser de mon côté sympa ? Adieu aussi ;)

Voilà, ce sont mes objectifs pour cette année. J’espère sincèrement pouvoir m’y tenir ! Et vous ? Vous en prenez ou vous ne considérez pas la nouvelle année comme un nouveau départ ?

C’est un article qui me titille depuis un moment. Je n’avais pas encore commencé à le rédiger, parce que j’ai eu un moment de doute, où je me suis dit « super, tu vas passer pour la rabat-joie de service » ! ^^ Mais je me suis décidée à le clamer haut et fort : cette année, je n’aime pas Noël !

Déjà, de base, il faut savoir que je ne suis pas une grande fan des fêtes de fin d’année. Je mets Noël et le 1er de l’an dans le même sac : celui des conventions sociales.

Ne pas aimer cette période de l’année vous donne tout de suite l’image de quelqu’un de grincheux, de rabat-joie, de personne sans coeur. Et pourtant, c’est comme ça : cette période de l’année est vraiment celle que je déteste le plus.

Pourtant, pas de vraies raisons à ça. Je veux dire, je n’ai rien vécu de traumatisant à cette période de l’année. Mais voilà, allez savoir pourquoi, je n’aime pas cette période de l’année.

Et j’ai l’impression que ça s’arrange pas en vieillissant ! ^^ J’ai bien essayé de me mettre dans l’ambiance en regardant quelques films de Noël, en ayant des calendriers de l’avent, en allant voir les illuminations canons à La Rochelle… Mais je crois bien que cette année 2020 a tellement été nulle que j’ai qu’une seule hâte : qu’on passe à autre chose.

Du coup, j’avoue ne pas avoir envie de faire semblant d’être à fond dans Noël. Il faut dire qu’avoir un mec qui déteste Noël n’aide pas non plus, haha ^^

Alors je me suis résignée cette année. Contrairement au reste de la blogosphère et d’instagram, je n’ai pas décoré mon appart comme si je vivais dans une annexe du chalet du Père Noël. Mis à part mon mug en forme de renne (à retrouver ici) et un ou deux téléfilms de Noël regardés sur Netflix, je n’ai rien fait d’autre.

Et même si je passe pour l’aigrie de service, eh bien je suis en accord avec moi-même ^^ Pas besoin de jouer un rôle ! :) Du coup j’ai eu envie d’écrire ces quelques lignes pour vous dire que si vous aussi, vous n’êtes pas à fond dans la NOËL-ITUDE, pas de souci ! Ce n’est pas grave. Vous devez vous écouter et ne pas vous comparer aux autres. Je sais, je sais, c’est plus facile à dire qu’à faire…

J’ai évidemment une pensée pour celles et ceux qui cette année (encore) vont se retrouver seuls pendant les fêtes. Si vous avez un proche, un voisin ou une connaissance qui se retrouve seul.e pendant les fêtes, invitez-le. Je sais, en période de pandémie, c’est moyen. Mais après tout, on autorise bien tout le monde à se retrouver pour les fêtes… Alors, pourquoi ne pas en profiter pour penser aux personnes autour de nous ? ;)

Et vous ? Vous faites partie de ceux qui sont à fond dans Noël ou de ceux qui n’aiment pas ça ? :)