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Dans une vie antérieure, j’ai dû être une marmotte. Surtout depuis qu’on m’a retiré la thyroïde. Si je m’écoutais, je pourrai faire la grasse mâtinée tous les jours et passer une partie de mes weekends au lit. Et pourtant, je ne dors pas toujours bien, et il m’arrive de me réveiller super fatiguée le matin… Alors, depuis quelques mois, j’essaye petit à petit d’adopter de nouvelles habitudes pour bien dormir. Et on dirait que ça marche ! ;)

Avoir une bonne literie

Un conseil bête, mais tellement essentiel pour bien dormir ! Avec l’amoureux, nous avions pourtant bien choisi un bon matelas chez Ikea il y a de ça 2 ans, mais nous dormions mal tous les deux, avec aussi des conséquences côté santé : mal de dos, cervicales en vrac, etc…

Il y a quelques semaines, nous avons décidé d’opter pour le matelas EVE. Un matelas très épais (comme dans les hôtels !)et  à mémoire de forme mais qui soutient bien le dos. Aussitôt installé, aussitôt adopté ! Le fait d’avoir moins mal au dos sur mon matelas m’offre une qualité de sommeil bien meilleure. Il soutient bien tout le corps, et même s’il est ferme, ce n’est pas désagréable. Au contraire ;)

conseils pour bien dormir

Il ne manque plus qu’à trouver de bons oreillers, et ça, ce n’est pas de la tarte. Nous en avons acheté plusieurs modèles : pour les cervicales, mous, durs, à 100€ comme à 20€, chez Dodo comme chez Ikea. Mais rien n’y fait… Je suis donc toujours à la recherche de bons oreillers pour ne plus avoir mal aux cervicales et pour pouvoir dormir encore mieux ! :)

Dormir dans le noir complet

Dur dur pour moi, vu que je déteste être dans le noir complet. Mais force est de constater qu’à chaque fois que je le fais, je ne me réveille pas de la nuit. Et forcément, en ne me levant pas la nuit, mon sommeil respecte son cycle naturel, ce qui entraîne un sommeil réparateur ! ;)

Si vous n’avez pas la possibilité d’être dans le noir complet (à cause de vos volets ou de lumières indirectes), je vous recommande d’opter pour un masque. On en trouve des trop choupis chez Oysho notamment ! conseils pour bien dormir

Masque Koala – 12.99€

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Masque étoiles – 12.99€

Opter pour le pouvoir des plantes

Stress et anxiété sont les pires ennemis de notre sommeil. Qui n’a jamais passé une mauvaise nuit à cause du stress ? Même avec la meilleure volonté du monde, dur dur de lutter contre ce stress pour retrouver une bonne qualité de sommeil. Alors, j’ai opté pour une parade vieille comme le monde, mais efficace : recourir aux plantes ! ;)

N’hésitez pas à opter pour une bonne tasse de camomille ou d’infusion « sommeil » 30 minutes avant d’aller dormir. Vous pouvez aussi opter pour des compléments alimentaires à base de plantes ou de l’homéopathie, en demandant conseil à votre pharmacien.

J’utilise aussi la brume d’oreiller relaxante de L’Occitane pour les grosses périodes de stress, que je vaporise sur mon oreiller avant de me mettre au lit. Voici une petite sélection de produits à adopter d’urgence pour bien dormir grâce à la nature :)

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Brume d’oreiller – L’Occitane (18€) / Compléments alimentaires Sommeil – Puressentiel (10.99€) / Infusion Lovely Night – Lov Organic (12.90€)  / Cure Noctidose – D.Plantes (21.00€) / Spray buccal sommeil – Nat&Form (9.90€)

Pratiquer la méditation

La méditation a sur moi un effet très reposant et presque sédatif. Si je prends le temps de faire une petite session de 10 minutes de méditation, je sais que je vais m’endormir rapidement !

Comme je ne suis pas une experte dans le domaine, j’utilise principalement l’application Petit Bambou, qui est gratuite et est super facile à utiliser. Méditer permet de faire le vide, de reposer son esprit et la respiration apaise votre corps, ce qui facilite encore plus un bon sommeil. A pratiquer au calme dans votre lit, avec un peu de lumière ;)

Lâcher son téléphone !

Et la télé, l’ordinateur, la console, etc… Peut-être le conseil le plus difficile à mettre en pratique pour moi, mais il est scientifiquement prouvé qu’utiliser ce genre d’objets juste avant de filer rejoindre Morphée ne peut que perturber notre sommeil.

Quand j’y pense, j’essaye donc d’arrêter tout ce qui pourrait continuer à activer mon cerveau inutilement au moins 20 minutes avant d’aller au lit. Je remplace alors ce moment par la lecture d’un bon livre, confortablement calée dans mon lit avec une bonne tasse de tisane. Ou alors par une séance câlins ;)

conseils pour bien dormir

On a aussi décidé de ne pas avoir la télévision dans la chambre, afin de ne pas être tentés de rester au lit à regarder l’écran en oubliant notre sommeil. Et nous commençons aussi à éloigner petit à petit les téléphones du lit, en les mettant à recharger loin de nos têtes. C’est pour cela que nous allons d’ailleurs opter pour un vrai réveil plutôt que de transformer nos téléphones en réveil ;)

En mettant en application ces conseils tout simples mais auxquels on ne pense pas toujours, vous allez vite retrouver un bon sommeil ! ;)

Depuis de nombreuses années, je consomme beaucoup de thé. Moi qui n’aimait pas ça, je me surprends depuis 5 ou 6 ans à en boire minimum 2 tasses par jour, à entasser les sachets et boites de thé dans mes placards, et à toujours être à la recherche de nouvelles saveurs.

Avec l’arrivée de l’automne, je retrouve le plaisir du thé chaud, confortablement installée sous mon plaid devant une bonne série. Au bureau, c’est un peu plus compliqué de satisfaire mes envies de thé chaud, sauf quand je trouve le temps de me faire un thermos de thé vert ou de rooibos le matin pour accompagner ma journée. Mais ça ne m’empêche pas d’avoir 3-4 boites de thé sur mon bureau, histoire de varier un peu les plaisirs.

Parmi mes marques de thé préférées, j’ai eu envie aujourd’hui de vous faire découvrir Yogi Tea. Créée il y a plus de 40 ans, c’est une marque que j’ai découvert grâce à la Thé Box (dont nous avons souvent parlé sur le blog) et que j’ai eu le plaisir de redécouvrir en magasin bio. Yogi Tea est pour moi synonyme d’infusions aux plantes et aux épices délicieuses, basées sur des recettes ayurvédiques uniques et favorisant le bien-être. La marque propose 44 infusions. De quoi s’octroyer facilement des pauses « feel good » dans nos journées surchargées tout en trouvant des saveurs qui nous plaisent !

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Pour ceux qui ne connaissent pas l’ayurvéda, il s’agit d’une science de l’équilibre du corps, du mental et de l’âme. Les thés sont donc formulés pour faire autant de bien au corps qu’à l’esprit, et c’est l’argument principal de la marque :) Par exemple, je sais que je ne jure que par l’infusion gingembre-citron l’hiver, quand je commence à être malade. Avec une petite cuillère de miel, c’est parfait et bien meilleur que des pastilles contre le mal de gorge !

J’ai eu la chance il y a quelques semaines de recevoir 4 boites de thé, dont mon chouchou gingembre-citron, pour vous en parler. Le YOGI TEA Classic est, quant à lui, l’infusion que Yogi Bhajan servi à l’origine à ses étudiants de yoga. Réchauffant, relaxant, délicieux, épicé et merveilleux. À déguster selon la tradition indienne : sucré avec un nuage de lait (végétal, pour ma part).

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Pour le matin, j’ai vite adopté le YogiTea “Joie de Vivre”. Ca peut paraître bête, mais son petit côté épicé me réveille le matin et me donne la patate pour affronter le début de la journée ! En plus, sur chaque sachet, il y a une petite citation ou phrase en français, que j’ai à chaque fois hâte de découvrir ! Un peu comme un fortune cookie, qui donnerait le ton de la journée ;)

Si vous êtes amateur de chai latte, sachez aussi que la marque propose un chai en vrac, auquel je vous conseille d’ajouter du lait de coco ou du lait d’amande pour le rendre gourmand. C’est parfait pour les après-midi d’automne, avec un bon plaid et un bon livre.

Bref, vous l’aurez compris, le thé et moi, c’est une grande histoire d’amour ! Et vous, vous en buvez ?

Depuis des années, je souffre d’une maladie chronique. Mais quasi invisible. Depuis 2008, je vis sans thyroïde. J’ai déjà abordé parfois ce sujet sur le blog, sans trop m’y attarder. Et puis, je me suis dit qu’il serait intéressant d’en faire un article, surtout que c’est une maladie courante sans être très connue.

Depuis l’âge de 22 ans, je vis donc avec un organe de moins. Un organe que je dois remplacer au quotidien en prenant du lévothyrox. Heureusement pour moi, je n’ai pas plusieurs comprimés à avaler chaque jour comme ce peut être le cas pour certaines maladies. Non, moi je dois juste prendre un comprimé chaque matin à jeun jusqu’à la fin de ma vie ;)

Le diagnostic

Les problèmes de thyroïde sont parfois compliqués à détecter. Pour ma part, les symptômes étaient les suivants :

  • problèmes de poids : impossible à l’époque de dépasser 46 kilos. Et pourtant mon régime alimentaire de l’époque était très fat : McDo tous les midis, beuverie tous les 2 jours, kebab, grignotages, quasiment pas de légumes, etc…
  • sautes d’humeur : il m’arrivait parfois de frôler les crises de nerf tellement j’étais énervée par des situations. Mais genre comme ça, d’un coup.
  • peu de sommeil : je dormais très peu, du style 1h du matin – 6h du matin ! J’avoue qu’aujourd’hui, ça me manque bien car je suis devenue une vraie marmotte depuis !

Je n’ai jamais pensé à la thyroide, mettant ça plutôt sur le coup de mon cycle hormonal et du métabolisme. A vrai dire, je ne savais même pas que cet organe existait.

Et puis, lors d’une visite de routine chez le médecin, celui-ci me demande si j’ai des problèmes de thyroïde. Car il y a une petite boule au niveau de ma gorge. Une boule qui en fait est là depuis des années, sans que cela m’inquiète. Tout simplement parce qu’elle se trouve légèrement sous la glotte.

On décidé donc d’aller me faire faire une échographie « pour vérifier ». Là, je tombe sur un con. Pas d’autres mots. Pendant tout l’examen, le mec n’arrête pas de dire « oh la la c’est quoi ça ! » « c’est quoi cette thyroide !? » « mais c’est pas possible !! ». J’ai une peur bleue du médecin et des examens médicaux, alors imaginez mon état de panique ! Je me voyais déjà morte ! (oui pas mélodramatique la fille ^^). Mon médecin me rassure, en fait ma thyroïde a des nodules mais pas de quoi me faire un sang d’encre. S’en suivent prises de sang, visite chez l’endocrinologue, scintigraphie pour vérifier que les nodules ne possèdent pas de cellules cancéreuses… Etc… 4 mois après le diagnostic, je suis chez le chirurgien, prête à me faire retirer toute la thyroïde.

Petit point Larousse Medical : La thyroïde, c’est là, derrière les cordes vocales ;)

vivre sans thyroide

L’opération

Ma grosse angoisse. J’avais 22 ans, je n’avais jamais été hospitalisée ni opérée. Au final, ça s’est bien passé. Peu de douleurs puisque j’étais sous morphine, mais comme je ne devais rien manger qui pourrait irriter ma gorge pendant quelques jours, j’ai eu quelques sueurs froides lors des repas à l’hôpital ^^

Par la suite, pendant 2 ans, il a fallu que je protège énormément ma cicatrice, pour éviter qu’elle ne se voit trop par la suite. Ecran total tous les jours, massages, crèmes réparatrices… Au final, on ne la voit quasiment plus ! ;)

Et après ?

Dès le lendemain, j’ai donc commencé ma nouvelle routine, à savoir prendre mon comprimé de levothyrox tous les matins. Tous les mois puis tous les 3 mois, j’ai du faire des prises de sang pour vérifier mon taux de TSH, qui est l’hormone sécrétée normalement par l’hypophyse, une petite glande dans le cerveau. Cela joue beaucoup sur notre humeur, notre fatigue, notre métabolisme en général.

Pour faire court, il y a 3 stades quand on est malade de la thyroïde (je généralise mais c’est pour éviter de faire un cours de médecine ^^) :

  • L’hypothyroïdie : le taux de TSH n’est pas bon, il est trop élevé, on est très fatiguée, on pleure pour un rien, on prend du poids même en faisant attention.
  • Le stade normal : le taux de TSH est bon, aucun souci à signaler !
  • L’hyperthyroïdie : le taux de TSH n’est pas bon non plus. On est hyper speed, on peut perdre du poids même en mangeant bien, le coeur peut s’emballer aussi.

J’ai donc des périodes dans l’année où je suis très fatiguée. D’autres où je suis un peu speed mais c’est très rarement arrivé. C’est très handicapant au quotidien, j’ai une qualité de vie forcément moindre que des personnes sans soucis de santé.

Au quotidien, ça donne quoi ?

Je suis un peu comme une petite vieille :D Quand il fait chaud, je ne suis pas bien, l’hiver je suis très frileuse, j’ai parfois des jours où j’ai envie de pleurer d’un coup sans que rien d’exceptionnel n’arrive. Je pourrai passer mes weekends à dormir, et j’ai souvent du mal à émerger le matin. J’ai pris 14kgs en 8 ans aussi, passant du 32/34 au 38/40. Dur dur.

C’est dur aussi pour mon copain, qui doit vivre cela au quotidien. Je suis tellement consciente d’être parfois compliquée à vivre à cause de tous ces soucis. Mais il est toujours être là pour moi, même quand c’est difficile.

Je ne peux plus consommer de soja (ou très rarement) car le soja est un perturbateur endocrinien, qui absorbe le levothyrox. Je suis très vite fatiguée, du coup je suis très réticente à faire certaines activités physiques. J’appréhende chaque changement de saison car je sais que cela entraîne 2 à 3 semaines de grosse fatigue, le temps que mon corps s’habitue. Eh oui, car la thyroide, c’est un peu le thermostat de notre organisme ;)

J’apprends chaque jour à vivre sans thyroïde. J’apprends tout le temps ce que ça implique niveau santé et qualité de vie, et souvent j’ai oublié de m’écouter. Désormais je fais très attention, j’essaye de tout faire pour vivre « normalement ». Ce qui motive en partie ma reprise en main.

Bref, je vis sans thyroïde et je le vis (à peu près) bien ! :)

Je ne suis pas vegan – la preuve, je souffre d’une légère addiction au fromage – mais depuis quelques années, j’ai progressivement remplacé le lait de vache par des laits végétaux. Je n’ai plus bu une goutte de lait de vache depuis 3 ans maintenant, idem pour le yaourt que j’ai supprimé de mon alimentation. Et je m’en porte bien mieux !

Mais pourquoi un tel choix ?

Je ne vais pas rentrer dans les détails, mais boire du lait ou manger un yaourt me plie en deux pendant 1 journée. Crampes d’estomac et soucis gastriques, voilà ce qui m’attend si je me décide à manger un yaourt ou à boire un verre de lait avec mes céréales.

laits végétaux

Au début, j’ai commencé avec du lait de soja et des yaourts au soja, type Sojasun. Le goût n’était clairement pas au rendez-vous, je n’appréciais pas ça du tout. J’ai donc, au bout de 2 mois, stoppé tout ce qui ressemblait de près ou de loin à un yaourt et un verre de lait.

Et puis j’ai commencé à me renseigner à ce sujet, et j’ai trouvé des alternatives. Lait d’avoine, de riz, de noisette, d’amande… Yaourts de chèvre, de brebis… Et j’ai commencé à apprécier ces nouvelles saveurs.

Mais quel lait choisir ?

Les laits végétaux ont chacun leur particularité. J’ai donc eu envie de vous faire un petit panorama des laits que je consomme depuis 2-3 ans. Je n’ai pas encore tout testé du côté des rayons des magasins bio, mais sachez que vous pouvez aussi en trouver dans vos rayons de supermarché, notamment chez Bjorg, Alpro ou dans les marques distributeurs bio.

  • Le lait de soja

Le moins cher à l’achat, le plus commun aussi. C’est l’alternative végétale la plus proposée que ce soit dans les restaurants ou les cafés. Mais pour ma part, je ne peux plus en consommer car le soja est un perturbateur endocrinien, et qu’il a pendant des mois absorbé le Levothryox, le médicament que je prends pour remplacer ma thyroide.

Côté texture, cela ne ressemble pas à du lait, c’est beaucoup moins épais. C’est le lait le plus facile à consommer au début, car on en trouve du nature, mais aussi à la vanille ou au chocolat. Côté goût, c’est un goût un peu particulier au début – je ne saurai trop le décrire – mais on s’y habitue vite.

laits végétaux

  • Le lait d’amande

Celui qui ressemble le plus au lait, du moins en texture ! C’est assez bluffant d’ailleurs ;) Le lait d’amande est plus gourmand aussi, il est souvent très sucré, et peut se boire nature sans problème. Il est légèrement plus calorique que le lait d’avoine, dont on reparlera juste après. Le lait d’amande est riche en potassium, en fibres mais aussi en calcium.

  • Le lait d’avoine

Le lait d’avoine est un mélange d’eau et d’avoine, très riche en fibres et en acides gras saturés. J’aime bien en consommer avec des céréales car il me rappelle la texture du lait de vache avec ce type de produits. Comme il est issu d’une céréale, ce lait végétal contient du gluten donc attention si vous y êtes intolérant ;)

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  • Le lait de coco 

Le tout dernier lait végétal que je viens de découvrir ! Je trouve que c’est un lait particulièrement bon pour des boissons comme le chai latte ou le chocolat. Il est aussi très bon en smoothie, car on retrouve le gout de la noix de coco, de façon subtile mais présente quand même en bouche.

  • le lait de riz

Peut être le lait végétal que j’apprécie le moins, surtout quand il est nature. Cela ressemble plus à de l’eau qu’à du lait niveau goût, et je ne lui trouve pas un goût exceptionnel. Toutefois il m’arrive d’en boire parfois aromatisé, quand j’ai envie d’une boisson légère pour le matin ou le goûter. C’est en effet une boisson assez rafraichissante, surtout quand elle est bien fraiche !

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  • le lait de noisette

Je dirai que le lait de noisette est le lait le plus gourmand que je connaisse ! Peut être même un peu trop gourmand pour moi. C’est un lait assez sucré, qui ressemble un peu à la crème MontBlanc praliné, mais en moins épais quand même. C’est aussi une grande source de vitamine B12 qui contribue à réduire la fatigue :)

Je ne peux que vous recommander de tester un jour un de ces laits végétaux. Vous verrez que vous allez vous en porter bien mieux, surtout niveau digestion :)

Aujourd’hui, on va aborder un sujet assez perso sur le blog. Vous allez me dire, un blog c’est fait pour ça, et puis j’ai quand même déjà parlé du sujet « poids » sur le blog à plusieurs reprises ces dernières années. C’est un sujet assez délicat, on est souvent incompris lorsque l’on en parle, car on sera toujours plus grosse que ou plus maigre que quelqu’un.

Et comme on le sait, la société aime bien nous montrer des normes à atteindre.

Mais le débat aujourd’hui n’est pas là dessus. Non j’ai plutôt envie de parler des kilos émotionnels. Ces kilos que l’on prend parce que son rapport à la nourriture est lié aux émotions. Et après avoir lu pas mal de sujets là dessus, j’ai enfin mis le doigt sur une partie de mes problèmes de poids.

Vive les problèmes de poids. Mais c’est le lot de tout le monde ou presque !

Avec ma reprise du boulot (enfin d’un boulot en entreprise, 5 jours/7 ou presque) début Mai, j’ai pris près de 6 kilos en 3 mois. Comme vous le savez peut-être, j’ai des soucis de thyroïde qui font que mon poids n’est pas une science exacte et dépend de mon dosage en TSH. Je peux ainsi prendre 2 kilos d’un coup en faisant gaffe comme en perdre 5 dans rien faire de spécial. Au bout de presque 10 ans sans thyroïde, j’ai maintenant l’habitude et j’ai appris à ne plus faire trop attention au chiffre sur la balance.

Plus que le chiffre, c’est plutôt mon apparence physique qui me met parfois un coup au moral. Je m’en fiche de faire 50, 60, 70 kilos ou plus. A l’heure où je vous parle, je fais 60kgs mais il y a 3 semaines, j’en faisais 3 de plus sans rien modifier niveau alimentation.

Mais quand je vois sur des photos que je suis bien en chair et pas très ferme, cela me met un coup au moral. Surtout que je sais qu’à l’heure actuelle, je ne peux pas faire grand chose à ce sujet. Ou du moins pas autant ou aussi vite que je ne le voudrais. Parce qu’il fait trop chaud pour aller courir (alors que cela me manque), et parce que de toute façon je suis dans une période « kilos émotionnels ».

kilos émotionnels

Les kilos émotionnels, c’est quoi ?

Quand je suis heureuse, j’ai envie de voir mes amis, faire des bouffes en amoureux, prendre l’apéro tous les soirs. Du coup, je mange. Je bois du vin, des mojitos, de la bière. Je me délecte de fromage, de petits gâteaux, de bons plats hyper gourmands. Si je suis triste, mal dans ma peau ou stressée, je mange aussi. Mais là je jette mon dévolu sur des bonbons, du chocolat, du sucre, du sucre, du sucre. Des burgers aussi, genre je replonge carrément chez McDonalds alors que j’avais arrêté ces dernières années.

J’ai beau essayer de faire attention, de manger plus sainement, je sais qu’au moindre signe de faiblesse, je replonge dans la spirale de la malbouffe.

Alors on fait quoi ?

On m’a toujours dit de trouver un autre défouloir en cas d’ennui, de mal-être, de stress. Le sport en est un bon, mais même si j’ai plutôt bien accroché au running – notamment grâce à la création du So Girly Crew – ma santé et mon job très prenant font que j’ai beaucoup moins la motivation qu’avant. Moins l’énergie aussi. Et puis j’ai quelques tracas en ce moment qui font que j’ai plus envie de faire ma larve et de me goinfrer devant la télé…

la marseillaise des femmes 2016

Du coup, j’en suis à un point où je me dis qu’aller voir un médecin serait plutôt la meilleure solution dans mon cas. Un diététicien ou nutritionniste – voire un psy – pourrait peut-être m’aider à arrêter de me réfugier dans la nourriture en fonction de mes émotions, et de retrouver un certain équilibre de ce côté là.

Alors, depuis lundi, je me suis reprise en main. Au moins côté alimentation où j’ai recommencé à me faire des lunch boxs pour le boulot. J’essaye aussi de diminuer considérablement ma consommation de sucres et il va falloir que je recommence à me motiver à me bouger le popotin, en faisant du running tard le soir et du vélo aussi.

Voila, je pense qu’on en reparlera sur le blog, parce que mon petit doigt me dit que ce sujet là, je ne suis pas la seule à le connaitre. Dès que la chaleur aura un peu baissé dans le Sud et que j’aurai retrouvé un bon rythme, je relancerai les sessions running du So Girly Crew, histoire de reprendre les bonnes habitudes. Et ainsi bouger plus ou mieux :)

Et vous, les kilos émotionnels, ça vous parle ?