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Humeurs

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Comme un peu tout le monde (ou presque), je suis accro et très présente sur les réseaux sociaux. Cela est autant dû à mon activité professionnelle (je suis social media manager) qu’à mon activité de blogueuse depuis 8 ans maintenant. Mais depuis quelques mois, un phénomène m’exècre au plus haut point : l’hyper partage de la vie privée des blogueuses/youtubeuses/instagrammeuses (rayez la mention inutile).

Alors oui, quand on partage sur les réseaux sociaux, c’est pour se montrer. Moi la première. J’ai imaginé mon blog et mes réseaux sociaux comme un espace de partage et d’échange. J’aime y partager avec vous mes coups de coeur, ce que j’aime, ce que je fais, etc.. Par contre, je limite ce partage, et certaines sphères de ma vie n’ont pas leur place sur mes réseaux/mon blog. Je sais que cela est frustrant pour certaines d’entre vous, mais je tiens à garder une partie de ma vie privée.

Contrairement à certaines, je ne me considère pas comme un personnage public. Je ne suis pas une célébrité. (Et même elles ont le droit de garder une part de leur vie privée). Je ne me considère pas comme une personne dont il faudrait tout savoir, suivre les moindres faits et gestes au quotidien. Je ne vlog pas, je ne blablate pas toutes les deux minutes sur Snapchat ou Insta Stories. On ne me voit pas du matin au saut du lit au soir avant de me coucher.

Ces derniers temps, j’ai l’impression que c’est la course à l’hyper-partage sur les réseaux. Pour gagner des followers, animer sa communauté et avoir des partenariats, certaines sont prêtes à tout. Partager la vidéo de leur mariage, montrer leurs enfants en long en large en travers, suivre des accouchements en direct (ou presque), faire de leur mariage ou de leur vie des événements placés sous le signe des partenariats et des placements produits.

Trop, c’est trop.

N’oublions pas qu’Internet a une mémoire. Que les photos de vos enfants sur le pot/dans le bain/en mini-mannequin vont rester des années sur la toile, même si vous fermez votre compte ou arrêtez de bloguer. Qu’un mariage reste avant tout un événement familial (ou simplement entre deux personnes qui s’aiment) et pas un spectacle pour lectrices un peu voyeuristes. Et puis rappelez vous ce sentiment de honte que l’on a parfois quand nos parents montrent les photos de nous enfants. Qui ne l’a jamais ressenti ? Eh bien là, imaginez vous ce que vous ressentiriez si des milliers de personnes voyaient ces photos tous les jours…

Tout partager sur les réseaux sociaux, c’est aussi être incapable de dissocier sa vie 2.0 de sa vraie vie. C’est vouloir montrer aux autres qu’une vie parfaite passe par de nombreux voyages, des enfants toujours à la mode et tirés à 4 épingles, des maisons sorties de magazines de déco, etc… C’est aussi complexer peut être une partie de votre communauté, qui n’a pas ces partenariats qui permettent d’avoir votre vie « parfaite ».

Les réseaux sociaux sont devenus une télé-réalité. On se moque des programmes comme Les Marseillais ou les Anges, mais bon nombre d’influenceurs sont en train de faire exactement la même chose. On montre tout désormais sur les réseaux. On n’hésite pas à jouer des rôles, à se Kardashian-siser pour être tendance et suivie. Ruptures, liaisons amoureuses, accouchements, mariages, déménagements… On partage tout comme si on était filmés par notre smartphone 24h/24.

Chacun fait comme il veut après tout. Pour ma part, je sais très bien ce que je partage et ce que j’ai envie de voir. Et quand un compte Instagram ou un blog devient trop télé-réalité, j’arrête de le suivre. Parce qu’il y a des choses que je n’ai pas envie de voir ou de savoir sur vous. Moi, je suis juste là pour découvrir de nouvelles adresses, vos coups de coeur, vos projets liés au blog/réseaux sociaux. Pas pour connaitre votre vie sur le bout des doigts.

J’ai mis un peu de temps avant de rédiger ce papier. La publication le 8 Mars, journée internationale des droits  de la femme, est volontairement choisie pour un petit article coup de gueule, comme j’aime bien le faire de temps à autre. Pas tout le temps non plus, sinon je passerai pour une blogueuse (atta)chiante ;)

Dans son magazine du mois de Mars 2017, Glamour nous a sorti un petit discours bien haineux de derrière les fagots. Si vous avez déjà lu ce magazine, à chaque début de numéro, on retrouve l’édito de la rédactrice en chef du magazine. Souvent, ça parle de fringues, de comment se motiver à perdre ses bourrelets avant l’été, on a parfois le droit à une ou deux leçons de savoir-vivre à la parisienne pour nous, pauvres petites provinciales que nous sommes. Les marronniers de la presse féminine, auxquels cèdent aussi d’autres magazines dans le même genre.

Pour ma part, j’ai arrêté de lire Glamour, Elle et consoeurs il y a déjà quelques années. Notamment parce que j’en avais marre qu’on me dise quelle femme/épouse/amante/mère parfaite je dois être, qu’on me dicte comment m’habiller ou me comporter pour ne pas être has-been, etc.. Je crois que j’ai toujours préféré les blogs, avec (pour la plupart) des témoignages de filles comme toi, comme moi.

Et puis le weekend dernier, j’ai commencé à voir fleurir sur Twitter quelques coups de gueule bien sentis contre Glamour. Alors forcément, je suis allée jeter un coup d’oeil et ce que j’ai lu m’a profondément énervé. Tenez, c’est cadeau !

glamour anti féministe

Ca commençait pourtant bien. On y parle de grandes féministes comme madame Simone Veill qui ont tant oeuvrées pour que nous soyons ces femmes libres d’aujourd’hui. Et puis, en 3 lignes, patatra.

On critique les Chiennes de Garde. Certes, je ne suis pas la fille la plus féministe qui soit, mais y’a quand même deux-trois trucs qui me font sortir de mes gonds. Oui les chiennes de Garde ont fait pas mal d’actions pour dénoncer les attaques sexistes que subissent les femmes à peu près H24. Eh bien tant mieux, parce qu’on allait quand même pas se laisser marcher dessus par des hommes qui sous prétexte qu’ils ont un tantinet de pouvoir se croient bien supérieurs aux femmes.

Et là où la rédactrice en chef a fini par se mettre la moitié des internets à dos, c’est quand elle écrit noir sur blanc la phrase suivante : « Mais le pire était à venir : une génération de blogueuses et d’instagrammeuses en mal de sujet et de followers, féministes auto-proclamées, et théoriciennes à la petite semaine ». Suivi d’un « Merci, mais les femmes méritent mieux que ça ». 

PAUSE. 2 SECONDES.

« Merci, mais les femmes méritent mieux que ça. » Vraiment ??

Ces femmes sur lesquels vous déversez votre haine, chère rédactrice en chef de Glamour, ces femmes font ce qui est censé être votre job. Parler de sujets comme les différences de salaire, le harcèlement de rue qui se banalise tellement que ça en devient « normal », parler du fait que non, on est pas obligées d’enfanter pour être une femme, qu’on est maitre avant tout de notre corps, et qu’aucun homme ou qui que ce soit n’ait à nous dire quoi faire de nos seins ou de notre utérus.

Oui, nous prenons la parole, que ce soit en vidéo, sous une photo instagram ou au travers d’articles de blog, pour dénoncer et continuer de nous battre pour obtenir une égalité hommes-femmes. Les féministes ne sont pas dans un déversement continu de haine contre les hommes, elles sont là pour qu’on ait cette putain d’égalité ! Parce que ne soyons pas dupes, mais qui est encore moins payée à poste égal ou à qui demande-t-on pendant des entretiens d’embauche si elles ont prévu de fonder une famille dans les années à venir ? Certainement pas à ces messieurs.

(Ah ben ça fait du bien quand on le dit ! ^^)

Mais revenons à notre torchon.

La rédactrice en chef, après nous avoir encore asséné son discours de « bouh les blogueuses c’est le mal » (discours tenu depuis le début des années 2010 hein, ne l’oublions pas), continue de s’enfoncer. Elle érige en étendard de « féministe pas agressive », Leïla Slimani, journaliste et écrivaine, un très bon choix mais qui n’avait sûrement pas prévue de se retrouver au coeur de la polémique.

On termine avec un bon vieux cliché sur les féministes, qui seraient des femmes hargneuses, poilues, qui ne prennent pas soin d’elles, puisque la rédactrice en chef indique « Oui, on peut être féministe, épilée, bien habillée, et avec des cheveux longs, et même blonds. »

La bêtise de la presse féminine dans toute sa splendeur.

Au lieu de taper sur les féministes comme si elles étaient un espèce de poison de la société, pourquoi ne pas vous en inspirer ? Pourquoi ne pas collaborer avec elles, sans tomber dans les clichés ? En tout cas merci Glamour, vous êtes retombées en l’espace d’un édito 30 ans en arrière, et vous avez dû perdre encore quelques lectrices qui préfèreront à la lecture de votre torchon la lecture de blogs ou de livres rédigés par des féministes qui sont quand mêmes propres et bien épilées.

A bon entendeur.

Et sur ce, bonne journée ! (prêtes à voir votre boite mail inondées de réductions à la con ? ^^)

En 8 ans de blog, je n’ai jamais parlé politique. Du moins, pas ici. Il m’est arrivé de tweeter à ce sujet, de poster sur mon Facebook perso mais jamais je n’ai osé en parler sur mon blog, qui pour moi est à la base un vrai lieu de divertissement. Mais depuis quelques mois, je m’intéresse de près à la présidentielle, je regarde, lis et tweete à ce sujet. Et lundi, lors de la conférence de presse de François Fillon, j’ai notamment tweeté :


Et j’ai eu pas mal de réactions, m’indiquant que je ne devrais pas hésiter à le faire une seule seconde ! En fait, la seule barrière que j’ai, c’est que parler politique, ça plombe un peu l’ambiance sur un blog feel good ;) Alors j’ai quand même eu envie de relever le défi, en espérant ne pas rendre ce mercredi trop pourri !

La politique et moi

Mon petit CV politique ^^ Dès le lycée (début des années 2000), j’ai commencé à m’engager. Notamment en 2002 quand le FN est arrivé au second tour des élections. Manifestations, prises de conscience, j’ai vraiment utilisé ce choc pour me bouger. Ma meilleure amie de l’époque étant dans une famille très impliquée dans la vie politique, j’ai pu aussi pouvoir discuter rapidement de ces sujets avec des gens concernés.

A la fac, j’ai fait partie d’un syndicat étudiant. Organisation des manifestations, discours devant des amphis de 500 personnes, communication, rédaction du journal local du syndicat… Je me suis pas mal impliquée mais j’ai très vite vu aussi que même au niveau étudiant, le milieu politique était déjà pourri. Guéguerre d’égos, prises de décisions en fonction de ses intérêts… J’ai quitté le syndicat au bout de 2 ans pour continuer ma route. J’ai pris ma carte au PS pendant 1 an, mais là aussi, plusieurs réunions où les choses ne bougent pas car cela ne dessert pas les intérêts de Pierre, Paul ou Jacques.

Et côté votes ? Eh bien, depuis que j’ai l’âge de voter, je le fais. C’est pour moi un devoir, nos ancêtres se sont battus pour nous obtenir ce droit (et encore plus pour les femmes), et je compte bien l’utiliser tant que c’est possible ! :) Bref, vous l’aurez compris, la politique, ça m’a toujours plus ou moins intéressé ces 15 dernières années.

Mais…

Ces dernières années, je suis de plus en plus déçue et déboussolée. Comme pas mal de gens. J’ai voté à gauche aux dernières élections présidentielles et bon, vu le bilan… J’ai perdu foi dans le PS. Et là, avec l’arrivée des élections présidentielles de 2017, c’est la première fois depuis que je peux voter que je suis complètement paumée.

Dans ma tête, ça donne :

  • impossible de voter à droite, même si on doit me rouler dessus.
  • à gauche, bon le PS : OUT. Mélenchon, je l’aime bien, il a des idées intéressantes mais Jean Luc président, bizarrement, j’arrive pas à me projeter. Les écolos ? Ben c’est trop fouilli, comme à chaque fois. Et je dois sûrement en oublier mais cela veut dire que niveau médiatique, ils sont un peu dans les profondeurs des médias…
  • Et Macron ? Ben clairement, on a toujours pas son programme, on est à moins de 3 mois de la présidentielle donc même si j’aime bien l’idée d’avoir quelqu’un de jeune et dynamique à la tête du pays, sans programme, ça me semble un peu difficile.

Même si sur ce dernier point, je me demande si au final, nos élus ne feraient mieux pas de se positionner avec des idées plutôt que des programmes qui sont là juste pour attirer les votes, pour après s’asseoir dessus bien profondément.

En plus, on nous prend pour des cons.

C’est vraiment ce qui m’est venu en tête lorsque le #FillonGate est sorti, et encore plus pendant la conférence de presse de Fillon pour nous dire qu’en gros, c’était un coup des médias et que sa femme avait bien travaillé pour lui pour 3766 euros par mois. J’ai vu un mix de Calimero et de Iznogoud, à nous faire la morale, là devant son pupitre.

D’ailleurs, j’ai résumé cela en un tweet, tellement ça me semblait énorme.

Comment voulez-vous que les Français aient encore envie de voter dans des conditions pareilles ? Entre les médias qui portent aux nues le FN (on a l’impression que Florian Philippot a un lit de camp dans chaque rédaction !), les politiques comme Fillon qui t’entubent, ont une batterie de casseroles aux fesses mais font tout pour se donner une image de bon gendre idéal et ceux qui veulent casser les codes mais ne semblent pas avoir les épaules pour, y’a pas à dire, on est vraiment paumés.

Ajoutez à ça un climat international particulier (c’est le seul mot qui me vient à l’esprit, pour pas dire que tout se barre en cacahuètes) : Trump qui tweete plus vite que son ombre et insulte/s’offusque contre tous les gens qui sont contre lui, la guerre en Syrie, l’omniprésence du terrorisme, Poutine qui manigance des trucs dans son coin, etc…

Du coup, je suis de près tout cela, je regarde les programmes de tous les candidats (oui même ceux pour qui je ne peux vraiment pas voter, question idéologique) histoire de m’informer et d’essayer d’avoir la vision la plus claire possible, avant de mettre mon bulletin dans l’urne, en Avril prochain.

Pour le moment, je suis encore dans le brouillard complet, mais j’espère bien que cela va se décanter au fur et à mesure. Je n’en suis pas vraiment sûre, à l’heure actuelle, mais je l’espère. En attendant, il y aura peut-être des billets d’humeur comme ça, de temps en temps sur le blog. Et toujours des tweets, évidemment :)

Eh oui, comme quoi, chez certaines blogueuses, on ne s’intéresse pas uniquement à nos vernis ou la couleur de nos nouvelles chaussures. On utilise nos blogs aussi pour réfléchir, se motiver, et aborder des sujets importants. Les vrais. Ceux qui ont un impact sur notre vie à tous et à toutes :)

Avoir un blog, être blogueuse/instagrammeuse/youtubeuse/etc, c’est être toujours soumise au jugement des autres. Un peu comme tout le monde en société en fait, sauf que sur le web, les gens se sentent parfois pousser des ailes et jugent et critiquent sans filtres. Comme si l’écran de l’ordinateur ou du smartphone était une vitre blindée derrière laquelle on se sent invincible.

Je suis blogueuse depuis près de 8 ans. J’ai appris à ne plus prendre à coeur les critiques faciles, du style « t’es moche, t’es grosse, t’es prétentieuse » (et j’en passe et des meilleures). Ce n’est pas facile, je suis toujours blessée quand on m’attaque de la sorte, mais j’ai appris à ne plus le ressasser pendant des jours et des jours.

Dans mon métier de social media manager, j’ai appris aussi que certaines personnes ont une certaine passion pour aller critiquer tout ce qui bouge sur le web. Blogueur, marque, actualité… Tout en prend pour son grade. Etre troll, c’est être un passe-temps. Toi, tu en profites pour cuisiner, courir, faire du tricot, etc.. Eux, ils y perdent leur temps à critiquer, juste pour le plaisir.

Mais pourquoi je vous parle de tout ça ?

Parce que voilà, depuis quelques mois, j’ai lancé mon défi « A Better Me ». Une catégorie qui s’inscrit dans la tendance feel good de mon blog. Pas de jugement, pas de leçons moralisatrices, pas de conseils : juste la volonté de partager mon expérience pour reprendre en main mon alimentation. Chaque semaine, je prends le temps ici de partager avec vous ce que j’ai mangé, les erreurs ou améliorations que j’ai pu faire, mon état d’esprit, etc… Je sais que cela aide certaines d’entre vous à faire des efforts dans ce sens là, à trouver des idées de repas, etc… Et c’est bien dans ce sens que j’ai décidé de partager mon expérience !

Mais certaines se permettent aussi, plus ou moins régulièrement, de me poster des commentaires plus ou moins sympathiques. J’ai donc le droit à des leçons de morale, comme quoi je « mange comme une grosse », « fait n’importe quoi et donne le mauvais exemple », « ne doit pas avoir le droit de me plaindre vu mon alimentation catastrophique », et j’en passe et les meilleures.

Je suis toujours à chaque fois touchée quand je reçois ce genre de commentaires. Ça me donne parfois envie de tout stopper, de ne plus partager mon expérience. Et puis je repense aux commentaires des filles que ça aide.

C’est typiquement le genre de remarques qui peut me faire sortir de mes gonds. Parce que dans ces cas là, je le prends comme une agression, et puis comme je ne suis pas la fille qui a le plus confiance en elle sur terre, dans ces cas là, je me sens à la fois mal et pleine de rébellion.

 

Alors, petite mise au point (surtout les trolls et pseudo diététiciennes, si vous passez par là.).

Je ne suis pas diététicienne, je n’ai jamais dit que mon alimentation et mon mode de vie étaient très bons. Par contre, je pense avoir un impact positif en montrant qu’on peut essayer de faire des efforts et se reprendre en main, même si ce n’est pas toujours facile. Et même si ça ne plait pas à tout le monde, je compte bien garder ma rubrique et continuer à partager mes progrès, mes défaites et mes petits plats ici et sur les réseaux sociaux.

Pas de leçons de morale, ni de jugements sur le blog. Je ne l’ai pas crée pour ça. J’ai envie que ce soit un lieu bienveillant, où chacune peut venir ici sans se sentir jugée. Que ce soit sur son poids, son physique, ses goûts. Par contre, je préviens, je continuerai à sortir les griffes quand on viendra m’attaquer, et encore plus quand on se permet de critiquer dans le même temps mes lectrices ;)

Voila, fin du billet d’humeur. Vous pouvez reprendre une activité normale ^^

2017. Ca y est, on y est. Après une pause de 2 semaines plus que bénéfique, me revoilà prête à attaquer cette nouvelle année !

Comme chaque année – je ne suis pas parfaite – j’ai encore 2/3 bonnes résolutions dans mon sac. Vais-je les tenir ? Honnêtement, je ne me stresse pas trop à ce sujet. Si j’arrive à les tenir, ça sera génial, sinon il n’y aura pas mort d’homme. Me poser l’esprit pendant les vacances de Noël (même si j’étais au bureau) m’a permis aussi de prendre du recul, de réfléchir à ce que je voulais vraiment pour cette 31ème année de vie. Vous allez voir, c’est globalement hyper simple et pas très fantaisiste, mais je suis sûre que je ne vais pas être la seule à me reconnaître dans ces bonnes résolutions. ;)

1.Me sentir encore mieux dans ma peau

Processus qui a commencé l’année dernière avec notamment mon Carnet de Bord « A Better Me », qui va donc continuer sur l’année 2017. Pour rappel, A Better Me, c’est mon projet pour manger mieux, me sentir mieux dans ma peau et dans ma tête aussi, par extension.

Ces dernières semaines, je me suis pris pas mal de remarques sur mon physique, on m’a d’ailleurs demandé 2-3 fois si je n’étais pas enceinte. Du coup, ça m’a déprimée, puis remotivée à faire encore plus attention à moi, tout en me faisant plaisir quand même.

J’ai donc repris les bases de la méthode Fitnext et de Weight Watchers (plus de féculents le soir, on se calme sur le fromage et le chocolat, on boit des tisanes drainantes le soir…) et j’ai quand même pu profiter des plaisirs des fêtes de Noël. Maintenant, pour cette année, j’espère trouver le temps et le courage de faire du sport ET de continuer à manger mieux, quitte à me faire aider par un spécialiste.

2. Me désencombrer des choses inutiles

C’est peut-être le fait de vivre à deux dans 35m2, d’avoir des projets de déménagement ou tout simplement l’âge (ou la combinaison des 3) mais j’ai de moins en moins envie d’accumuler les objets chez moi ou dans mon dressing.

J’ai donc décidé qu’en 2017, j’allais lentement mais sûrement devenir un peu plus minimaliste. Faire le tri dans les affaires qui ne me plaisent pas/servent pas, refuser encore plus de recevoir des produits « gratuitement » pour le blog pour qu’ils restent dans mes placards… Mais aussi consommer mieux. J’ai déjà amorcé cela l’année dernière, mais si je peux n’avoir que quelques pièces de grandes marques comme Sandro, Petit Bateau ou Sessun et ne plus rien avoir qui provient de chez Zara, H&M ou Primark, ça serait top.

3. Apprendre à marcher avec des talons

Pour faire plus femme et moins ado, pour gagner en confiance en moi, pour gagner quelques centimètres et m’obliger à me tenir droite.

Mais vu que je suis une accro des sneakers, c’est pas gagné !

4. Voyager, encore et toujours.

Avec le boulot et si on déménage avec l’amoureux, pas sûre de partir dans des contrées lointaines, mais j’ai encore plus envie de découvrir de nouvelles villes, même en France. Et qui dit plus de voyages dit plus de bonnes adresses à partager ici ! ;)

5. Continuer le blog sur une lignée « feel good » !

Evidemment, le blog est dans mes bonnes résolutions. Pour cette 7ème année, je vais encore plus accentuer l’axe lifestyle. On parlera beaucoup plus de feel good, d’art de vivre à ma manière, de bonnes adresses à Marseille et ailleurs. Rajoutez à ça encore plus de déco et le tour est joué ! Concernant la beauté et la mode, comme ce sont deux sujets qui vous touchent moins, je pense les aborder plutôt sur Instagram et ne plus en parler sur le blog, sauf une fois de temps en temps si ça me dit ;)

Voilà, je crois que ma liste d’objectifs pour cette année est au top ! Et j’ai hâte de me lancer dans cette nouvelle année, et d’en tirer que du positif !

Je vous souhaite à tous et à toutes une très bonne année 2017 ! ♥