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Ces derniers jours, et plusieurs fois depuis notre séparation avec le Dandy l’été dernier, il m’est arrivé d’avoir le moral en berne. Dans le monde « Bisounours » d’Instagram, cela peut faire tâche. On m’a d’ailleurs reproché d’être un peu moins « feel good », d’être parfois chiante ou de mauvaise humeur sur les réseaux… D’être humaine en fait !

J’ai donc pris quelques jours de pause, pour me recentrer sur moi-même. Et vous savez quoi ? En 2-3 jours, j’avais déjà repris du poil de la bête ! J’ai donc eu envie aujourd’hui de partager avec vous quelques astuces simples mais efficaces, qui permettent de se sentir un peu mieux quand on a le moral en baisse ;)

1.Sortir de chez soi

Je suis la première à avoir envie de rester en pyjama dans mon lit ou à végéter sur mon canapé en me goinfrant quand ça ne va pas. Mais à vrai dire, ça ne résout pas forcément les problèmes.

Du coup, j’ai plutôt eu envie de couper la poire en deux : je traine le matin en pyjama, chez moi, devant la télé. Sans trop réfléchir en fait. Et puis je m’oblige à sortir de chez moi l’après-midi, avec un prétexte semi-bidon comme faire des courses ou aller à la Poste. Ou tout simplement pour profiter du beau temps ou avoir envie de sentir la chaleur du soleil sur ma peau, l’espace de quelques instants.

Quand mon emploi du temps coïncide avec celui de mes amis, je fais en sorte d’organiser un truc avec eux. Quelque chose de simple, comme boire un verre dehors ou passer la soirée. Cela évite de rester ruminer chez soi sur ses problèmes.

2. Faire une digital detox

C’est très contradictoire de donner ce conseil, surtout quand comme moi les réseaux sociaux font partie de ma vie professionnelle. Mais bordel, ça fait un bien fou !

J’ai d’ailleurs remarqué que les réseaux sociaux jouent pas mal sur mon humeur. Comme tout le monde, je suis parfois jalouse quand je regarde les stories de certain(e)s. Instagram surtout, qui me donne parfois l’impression d’être d’une banalité affligeante ou d’avoir une vie très planplan par rapport aux autres.

La semaine dernière, j’ai coupé 48h. C’est très peu, mais purée ça m’a fait un bien fou. Et d’ailleurs, comme me l’a dit ma meilleure amie ce weekend, je ne poste plus trop depuis cette mini-coupure. Mais c’est simplement parce que je n’en ai pas ressenti le besoin.

Et puis, je me sens parfois un peu coupable d’être blogueuse/Instagrammeuse, parce que je me dis que j’alimente moi aussi ce système, du paraître. Et que peut-être je rends parfois des gens malheureux ou jaloux en partageant certaines choses de mon quotidien.

conseils baisse de moral

3. Lire ou regarder un bon film.

On m’a souvent dit que j’utilisais les livres pour m’évader de mon quotidien, comme si c’était une mauvaise chose.

Mais moi j’adore lire. Parce que l’espace d’une heure, de deux heures, je vais être plongée dans un univers, dans une intrigue… Et que pendant ce temps là, c’est comme si je mettais mon cerveau en positif OFF. Tout en apprenant des choses ou en améliorant ma culture personnelle.

J’essaye aussi de regarder des films ou des séries légères (merci Netflix !) les jours où j’ai un petit moral, là aussi pour m’évader et ne pas cogiter pendant un moment.

4. S’occuper de soi.

La semaine dernière, par exemple, comme je me sentais chonchon, je me suis offerte un massage relaxant dans un institut de beauté. Cette sensation de sortir de là sur un petit nuage, c’est juste parfait !

J’aime bien aussi mettre un joli rouge à lèvres ou me maquiller même si c’est pour faire deux courses. C’est juste pour me sentir bien dans mes baskets :)

Et puis le soir, en pyjama, je me fais un masque deux fois par semaine. J’utilise aussi des gels douches ou des produits sous la douche qui sentent bons, qui ont des odeurs qui me mettent la patate ! :)

5. Tenir un journal d’humeurs.

C’est un conseil que m’a donné le Dandy, et qui fait vraiment du bien. Quand ça ne va pas, ou même quand ça va, j’écris sur un petit carnet en quelques mots. Je balance en vrac ce que je pense, ce que j’aurai envie de dire tout haut mais que je n’arrive pas. Et purée ça fait du bien !

J’ai pris un carnet à paillettes, j’écris dedans avec un stylo à paillettes, et j’ai décidé aussi de ne pas relire ce que j’ai écrit avant. C’est comme le Gueuloir de Balzac en fait :D

Petit rappel (mais nécessaire)

C’est normal d’avoir le moral en berne parfois. C’est juste être humain. Ca ne peut pas toujours aller dans la vie, tout comme ça ne peut pas toujours être triste.

Si possible, ne restez pas dans votre coin. Cela n’arrangera rien. Entourez vous d’un, deux ou plusieurs amis qui vous font vous sentir bien. Pas forcément des amis qui vous feront faire l’autruche, mais au moins des amis qui sauront être là en cas de besoin :)

Et vous, quels sont vos astuces/conseils que vous mettez en application quand vous avez un petit moral ?

Si vous jetez un coup d’oeil à Instagram de temps en temps, vous n’avez pas pu y échapper : le #10yearschallenge. L’idée ? Montrer une photo de soi en 2009 et une en 2019, pour mesurer son évolution ou voir au contraire que l’on a pas changé.

Après une longue hésitation, j’ai posté la mienne, en bon mouton des réseaux sociaux que je suis. C’était aussi pour moi l’occasion de ne pas fuir le passé, et surtout de montrer ces images que j’aime tant cacher, tellement j’ai du mal à me reconnaitre sur ces photos de l’époque…

 

 

 
 
 
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A gauche, une photo de moi qui date de 2006 ou 2008. Je n’ai aucune idée de la date. J’ai volontairement effacé/viré la plupart des photos de moi datant de cette époque. Parce que je me trouve moche, laide, sans intérêt. Parce que j’ai du mal à me reconnaitre aussi, et à me dire que cette personne là, c’est moi.

A l’époque, j’avais encore une thyroïde et je peinais à dépasser 46 kilos, malgré un régime alimentaire catastrophique (Mcdo tous les midis ou presque, et soirée alcoolisée au moins 3 fois par semaine). Je ne pense pas que j’étais malheureuse – j’en garde énormément de bons souvenirs – mais clairement, je n’avais aucune confiance en moi et je crois bien que l’alcool m’a beaucoup aidée à m’exprimer/à passer de bonnes soirées. 

En 10 ans (voire 12), il s’en est passé des choses. Tout d’abord, j’ai quitté La Rochelle après la fac, partant vers Marseille pour de nouvelles aventures. Ca m’a d’ailleurs permis d’ouvrir le blog ^^ A l’époque, j’étais en couple et comme ça se passait très bien, ça se voyait plutôt sur mon visage ^^ Passer de la fac à une vie professionnelle, commencer le blog ont aussi beaucoup joué sur mon début de confiance en moi.

Pendant toutes ces années, j’ai connu les déceptions & les joies amoureuses et amicales, les montagnes russes dans mon boulot, les déménagements et les décisions qui bousculent votre vie. J’ai aussi fait de belles rencontres, qui m’ont permis d’évoluer.

En regardant en arrière, je crois que je ferai tout pareil. Même ma période de fac, où je ne me mettais pas en valeur, où je me sentais moche. Elle fait partie de moi.

Aujourd’hui, j’ai 32 ans, je suis célibataire et de retour dans ma ville natale. Pour beaucoup, cela aurait un petit goût d’échec, surtout à nos âges où selon les normes sociétales, je devrais songer à fonder une famille.

Pour moi, c’est juste une étape de vie. L’occasion de continuer à écrire ma vie, à faire de nouveaux projets. Je me laisse aussi l’opportunité de rencontrer quelqu’un, même si pour le moment j’ai beaucoup de mal à me dire que Tinder a désormais changé les règles du jeu ^^ On en reparlera d’ailleurs, si le sujet vous intéresse ;)

 

 

 

 

 
 
 
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Je ne doute pas que l’avenir me réserve de jolies choses – du moins je l’espère très fort – et ce #10yearschallenge, c’est aussi l’occasion de montrer que s’accepter, que prendre confiance en soi peut prendre des années. Et vous savez quoi ? Il n’y a aucun souci à ça !

Le titre de mon article a des airs de discussion philosophique. De bon matin, une semaine de rentrée, je ne sais pas si c’est une bonne idée ! Mais c’est un peu la question que tout le monde se pose en ce moment : et si chercher à devenir heureux à tout prix nous rendait malheureux ?

Oulà, ça sent un peu la déprime, non ? Je vais être honnête avec vous, en ce moment je suis dans une période un peu compliquée de ma vie, qui nécessite que je me pose, que je fasse des choix, qui vont forcément m’impacter et impacter mon entourage. Et dans tout cela, j’ai une petite voix dans ma tête qui ne cesse de me dire : « gardes le sourire, ça va aller ».

Je sais que ça va aller, mais résultat, je me colle une pression toute seule, par rapport à la société. Avec un blog en plus et une image publique, c’est encore pire qu’en temps normal.

Parce que si je m’écoute vraiment, je passe les prochaines semaines en boule dans mon lit, à ne voir personne et à ne rien faire.

Résultat, je ne cesse de penser à ces nombreux livres de développement personnel où l’on nous dit que même en temps de crise, il faut avoir l’air heureux. Que le positif attire le positif.

Je sais que le positif attire le positif, d’ailleurs j’y crois. Mais le fait que le bonheur sans faille, que la course au bien-être deviennent un vrai business, je trouve ça dommage. Comme le miracle morning par exemple. Vous vous en souvenez ?

Se lever à 6h, avoir une vie chronométrée et planifiée dès le lever pour soi-disant se sentir épanoui(e) et mieux dans sa vie. Ne pas laisser la place à l’imprévu. Faire du yoga, de la méditation mais aussi traiter ses mails avant le réveil des enfants, pour gagner du temps. Résultat, ces derniers mois, de plus en plus d’articles dans la presse ou sur le net qui évoquent aussi les effets négatifs de ce type de routine, qui ne convient pas à tout le monde. Ce n’est pas parce que ce rythme de vie convient à votre voisin que ce sera pareil pour vous. Il faut aussi savoir s’écouter ;)

developpement personnelJ’ai bien évidemment ma part de responsabilité dans ce domaine. Eh oui, j’ai un blog feel good, où je parle souvent de développement personnel. Où je donne des conseils, par exemple de livres de développement personnel à lire. Certes, dans la bienveillance et sans forcer qui que ce soit à suivre ce que je fais. Mais peut-être qu’à mon niveau, j’arrive déjà à culpabiliser des gens, de ne pas faire ci, de ne pas faire ça.

Ne parlons pas des comptes Instagram, où là, l’image du bonheur s’affiche au travers d’un prisme un peu déformé, qui nous culpabilise de ne pas avoir une vie où tout roule, où notre maison ressemble à un magazine de déco, où notre couple est parfait, où les enfants sont sages comme des images et où toutes les semaines, on découvre une nouvelle destination comme si on prenait une ligne de bus différente.  Je pourrai en parler des heures, vous rappeler que ces images ne sont pas la vraie vie, qu’elles sont un idéal pour faire rêver… ou culpabiliser.

A l’heure actuelle, j’essaie de m’écouter avant tout, avant d’écouter ce que j’ai lu dans les livres. Je suis dans une situation que je préfère garder pour moi, dont je ne souhaite pas – du moins pour le moment – parler à d’autres personnes qu’à mes amis ou ma famille.

Et si au fond, la clé du bonheur ou du bien-être, c’était de s’écouter et de s’entourer de personnes avec qui on se sent bien ? Et si on se créait nos propres ondes positives, avec nos envies et nos moyens ? :)

Dans l’année, il y a deux moments où l’on se fixe des nouveaux objectifs, où l’on se dit que c’est le moment de prendre un nouveau départ : le 1er de l’an et la rentrée de Septembre. Après les vacances d’été, ou une période d’accalmie, c’est la reprise d’un rythme plus soutenu, et de nouveaux projets à venir. Enfin, ça c’est sur le papier. Car la rentrée est-elle forcément synonyme de changements ?

On est actuellement dans une société qui nous dicte plus ou moins tout ce que l’on doit faire. Même en n’étant plus à l’école depuis longtemps, la rentrée est souvent stressante. On a l’impression qu’on doit forcément avoir de nouveaux projets, qu’on doit reprendre une routine métro-boulot-dodo, qu’on doit retourner ou aller au sport…

Mais si on faisait ce qu’il nous plait ?

Et si l’on décidait de faire des changements dans nos vies quand on le souhaite ? Ou de continuer notre train-train quotidien sans rendre de compte à personne ?

Pour ma part, cette rentrée est un peu étrange pour moi. C’est la 2ème rentrée en 8 ou 9 ans de carrière où je n’ai pas de boulot fixe. Du coup, je n’ai pas vraiment de rentrée. Parce que cet été, j’ai aussi bien travaillé en freelance que profité de l’été pour prendre du temps pour moi et m’octroyer des vacances. Pas de prise de tête pour savoir si je vais impressionner mes collègues avec mon récit de mes congés, pas d’angoisse de reprendre non plus.

la rentrée est-elle synonyme de changements ?Cette rentrée est aussi étrange car je ne sais pas de quoi seront faits les prochains mois. Je ne sais pas si je vais rester à mon compte ou retrouver un poste salarié, dans une société. Je ne sais pas si je vais rester à Paris ou déménager.

Et ça, c’est à la fois très angoissant et aussi une source d’inspiration, pour avoir l’envie de faire de nouvelles choses. De découvrir de nouveaux lieux. De peut-être même changer une chose ou deux professionnellement parlant.

Je commence petit à petit à me fixer une sorte de listes d’objectifs que j’aimerai mettre en place à la rentrée. Pas pour me mettre la pression – je suis déjà trop anxieuse pour ça – mais plutôt pour me créer une sorte de ligne directrice et me guider dans les prochains mois.

  • me mettre au sport : pour perdre un peu de poids, mais surtout pour calmer mon stress et mes problèmes de dos
  • réfléchir à ce que j’ai envie de faire professionnellement : rester en freelance ou chercher un CDI ? Rester dans mon domaine ou me former dans un autre ?
  • voyager : pour découvrir de nouveaux endroits, pour voir autre chose que Paris, pour m’aérer l’esprit

Ce ne sont que 3 objectifs mais ça fait déjà beaucoup de travail ! Je n’ai pas envie de me mettre la pression avec ces objectifs, je souhaite juste qu’ils trouvent naturellement leur place dans ma vie.

Et vous, comment vivez vous la rentrée ?

BONNE ANNEE !!!!

Et voilà, nous sommes en 2018. Je vais fêter mes 32 ans cette année, le blog va fêter ses 9 ans. Alors, pour commencer cette nouvelle année comme il se doit, j’avais envie de partager avec vous ma bucket list.

Pour ceux qui ne connaissent pas le concept, une bucket list, c’est comme une to-do list des choses que l’on veut faire, voir, des expériences que l’on veut vivre dans sa vie. Mais pour la rendre plus concrète, j’ai eu envie de me créer une bucket list des choses que je veux absolument faire/voir cette année. Un peu comme des mini-objectifs de vie pour m’octroyer des récompenses au quotidien ;)

 

1. M’épanouir encore plus.

Un objectif bien vague, mais cette année, plus que jamais, j’ai envie que ce soit mon année. Celle où je trouve le juste équilibre entre le boulot, le blog et ma vie privée. Celle où ma place dans ma vie professionnelle me fait évoluer encore plus. Celle où j’arrive à m’octroyer du temps aussi pour me reprendre en main, pour faire plus de place au yoga et à la méditation dans mon quotidien, celle où j’ai enfin confiance en moi et où je deviens une wonder-woman !

2. Voyager davantage.

C’est un peu un truc qui me frustre au quotidien, mais j’aimerai pouvoir voyager comme bon me semble, même le temps d’un weekend. A vrai dire, ce n’est pas au niveau financier que ça coince, mais comme l’amoureux n’a quasiment jamais de weekend, eh bien on est plutôt limités sur ce coup là.

Mais bon cette année, j’ai déjà décidé que je voulais aller à Lille, Rome, Londres, Bruxelles… et on réfléchit encore à nos vacances avant l’été, avec un petit coup de coeur pour l’Egypte ! Quitte à vivre à Paris, autant profiter du fait que c’est encore plus facile pour voyager en partant de la capitale !

3. Me faire tatouer.

Projet que j’ai à peu près depuis 10 ans mais que je n’ai pas encore fait parce que j’ai juste peur des aiguilles. Et d’avoir mal. Et que ma peau ne cicatrise pas bien. Ben oui, j’ai peur. Mais comme j’ai déjà 3 idées de tatouage, je me dis que cette année, je vais enfin passer le cap !

4. Arrêter de me comparer aux autres.

Le truc qui peut sembler trop facile à faire, mais non. Surtout quand on a un blog et qu’on est jugée en permanence. Mais plus ça va et plus j’ai confiance en moi, alors cette année, j’ai décidé que j’allais arrêter de me trouver moins jolie ou moins intelligente que les autres !

5. Profiter.

2017 a été une année super-stressante pour moi (même si très positive !). Nouveau boulot, nouvelle ville, nouveau chez-nous, des hauts & des bas sentimentalement parlant, une santé qui m’a joué des tours… Bref, je n’ai pas vraiment envie de recommencer la même chose en 2018. J’ai plutôt envie que ce soit l’année où j’en profite, où je prends du temps pour moi en dehors du boulot, où je passe enfin le cap de vivre plutôt que de réfléchir à tout.

Et vous, quels sont vos objectifs pour cette nouvelle année ?? :)